Château de Dourdan : étude du parement de la courtine sud-ouest et des salles sud-est (Île-de-France, Essonne, Dourdan)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2011

Numéro DAP
7
Image d'entête
DAP 7 | Dourdan « Château de Dourdan » (Essonne)
Média
DAP 7 | Dourdan « Château de Dourdan » (Essonne)
date expertise
juin 2012
date achevement
décembre 2011
Paragraphes

L’opération menée en 2011 sur le château de Dourdan (Essonne) et, plus précisément, l’étude des courtines sud-ouest a permis de relocaliser le logis royal (Philippe II Auguste : 1165-1223) détruit au cours du siège de 1591.
Ces découvertes et l’intérêt qu’elles ont suscité vis-à-vis de l’ensemble de ce château prestigieux, avec la réalisation d’une maquette « numérique » en 2012 (fig. 1), amènent quelques remarques complémentaires au rapport d’opération, en guise de prolongement méthodologique, sur l’interprétation des vestiges et les choix de « reconstitution ».

Fig. 1 : Restitution-reconstitution en image 3d d’après l’étude archéologique de Ph. Lenhardt, le musée du château de Dourdan et l’enluminure des Très riches heures du duc de Berry, en particulier pour la hauteur des bâtiments (DR). Source : Bouilly (Hervé). – [Restitution 3d du château de Dourdan]. In : Les châteaux qui ont fait la France [Dossier]. Le Point, n° 2101-2102, déc. 2012.

Déjà, à la fin des années 80, une première maquette traditionnelle d’architecture à forte connotation rustique (fig. 2 et 3) avait été réalisée pour présenter au public un monument reconstitué, bien différent de ce qu’on en peut percevoir aujourd’hui, c’est-à-dire un château dérasé sans toitures à l’exception de la façade d’entrée reconstruite au XIXe siècle.
Entre les interprétations de 1980, 2009 d’une part et celle de 2012 d’autre part, les différences tiennent aux observations réalisées au cours de la récente opération archéologique et à une large exploitation de l’enluminure des Très Riches Heures du Duc de Berry « mois d’avril » qui atteste que le logis royal était bien situé à cet emplacement.
En effet, la première maquette a été probablement réalisée avec une vue de l’esprit sans aucune référence précise à des données historiques du château tandis que la seconde s’appuie en grande partie sur des réalités archéologiques.

Fig. 2 : Maquette de 1982 qui donne un volume au château avec une connotation manifestement rurale ; les toitures des tours sont reconstituées ainsi que les bâtiment intérieurs (photo Guy Boulin). 

Fig. 3 : Reconstitution du château d’après la maquette de 1982 (cf. fig. 2) (Lemarchand, 2009) (DR). Source : Lemarchand (Fabienne). – [Reconstitution du château de Dourdan]. In : Les châteaux forts : sciences et techniques des bâtisseurs du Moyen Âge. Cahiers de Science & vie, n° 108, déc. 2008-janv. 2009.

Pour aborder ces questions de modélisation/recomposition, il s’avère pertinent d’utiliser les définitions que Pierre-Yves Balut (1982), qui fait référence en ce domaine, a données quant aux différentes « opérations » de restauration, restitution et reconstitution.
La restitution exprime en effet « le complément des lacunes en ayant recours en priorité aux données internes des objets étudiés et ensuite par des références à des modèles pertinents » alors que la reconstitution « donne à voir une (ou plusieurs) idée lorsque les étapes précédentes n’ont plus de réponse. Le propre de la reconstitution est donc qu’elle est invérifiable et de ce fait, nous fait sortir du champ strict de la science pour aller vers celui de la création ».
À Dourdan, les parties restituées du logis royal ont pu l’être par le recoupement des observations archéologiques effectuées sur les vestiges de maçonnerie et l’iconographie existante, celle des Très Riches Heures du duc de Berry représentant le château au XVe s. en second plan d’une scène de fiançailles (fig. 4).
En d’autres termes, une connexion a pu être établie entre les vestiges de murs de refends et leurs prolongements sur les murs et contreforts représentés sur l’enluminure médiévale.

Fig. 4 : Étude menée en 2011 qui a permis d’aboutir à une meilleure restitution en corrélant l’observation archéologique à la seule image connue du château avant sa destruction partielle, l’enluminure du mois d’avril des Très riches heures du duc de Berry (étude Ph. Lenhardt, Inrap).

En revanche, l’absence de vestiges en élévation haute n’a pas permis d’apprécier les hauteurs d’étage, de la toiture et par conséquent la hauteur totale du bâtiment.
Mais puisque les vestiges de la courtine sud-ouest présente une épaisseur de deux mètres, on peut considérer que son point le plus élevé encore en place constitue le niveau minimum à partir duquel le mur est en retrait pour laisser régner les appartements royaux dont les ouvertures sont rythmées par une série de contreforts. Pour la hauteur de l’édifice, c’est donc une restitution a minima qui a été proposée (fig. 5).
Pour la reconstitution archéologique, il existe également une seconde voie qui vise à « se mettre » dans le processus de conception de l’auteur du projet en essayant de retrouver le parti architectural adopté pour la construction d’un bâtiment, ce qui peut nécessiter d’avoir l’expérience du projet architectural.
En effet, un maître d’ouvrage – le commanditaire du projet – expose ses exigences au maître d’œuvre – le concepteur du projet – et en l’occurrence pour Dourdan, un ingénieur militaire.
Le projet doit ensuite être mis en forme selon les idées qui lui ont été exprimées en y intégrant une dimension architecturale lisible en accord avec les aspirations fixées.
Depuis le sud-ouest, le château de Dourdan présente en effet près d’une dizaine de tours y compris la tour maîtresse, ce qui caractérisent son aspect défensif puissant. Simultanément, il affiche une dimension plus « humaine » par l’aménagement d’un niveau résidentiel, l’appartement du roi situé au-dessus de la courtine au sud-ouest, ce qui n’est pas neutre.
En effet, le choix de cet emplacement est judicieux par son orientation cardinale mais aussi par les perspectives très dégagées visibles depuis les ouvertures vers le domaine situé en contrebas.
Il n’est évidemment pas possible de maintenir au droit de cet étage de représentation une épaisseur de deux mètres de mur comme la courtine l’impose car cela nuirait à l’éclairement des salles mais induirait également une vulnérabilité vis-à-vis de l’extérieur. Au contraire, dans cette configuration, une certaine confiance est affichée du côté de la royauté.
Mais, pour mettre en œuvre ce parti architectural, il est nécessaire de trouver des dispositifs architecturaux plausibles.
En effet, la réduction de l’épaisseur du mur sur l’extérieur permet de montrer explicitement depuis l’extérieur que le mur inférieur est très épais, toujours pour les mêmes raisons. Pour assurer cette réduction dans l’épaisseur tout en souhaitant réaliser un lien entre les parties basses et hautes du mur, un système de contreforts est utilisé sans que techniquement, cela soit forcément utile (fig. 5).
Ces contreforts ne font d’ailleurs encore qu’ajouter à l’effet de puissance de la courtine.
Alors tout naturellement, pour maintenir l’homogénéité du bâtiment, afin d’en respecter le parti architectural, il était nécessaire de retrouver ces mêmes dispositifs architecturaux sur la façade sur cour.
À cet effet, un contrefort pris dans un mur qui le prolongeait a été observé, parfaitement lié au mur gouttereau intérieur du logis. Ce n’était donc pas une réparation comme dans le cas où l’on retrouve un contrefort isolé (interprétation qui fut retenue pour la réalisation de la première maquette) mais bien un parti pris délibérément.

Fig. 5 : Coupe Nord-est/Sud-ouest du château : restitution du profil du logis (cf. fig. 166 du rapport pour une vue plus large) (Ph. Lenhardt, Inrap).

Ainsi, même pour un édifice partiellement ruiné, saisir son parti architectural par l’observation archéologique demeure une voie à ne pas négliger. L’exploiter permet de faire progresser sa restitution et rendre plus plausible sa reconstitution.

Sommaire

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. État des connaissances avant l’opération

1.1 La Ville
1.2 Le château

2. Stratégie et méthode mises en œuvre

2.1 Présentation générale et contraintes
2.2 Les objectifs et méthodes

3. Résultats

3.1 Salles dites du duc de Berry
3.2 Courtine sud-ouest (partie ouest du parement interne)

4. Interprétation des sources documentaires

4.1 Les plans anciens
4.2 L’enluminure des Très Riches Heures du duc de Berry

5. Synthèse et conclusion

5.1 Données disponibles et acquises
5.2 Restitution de la volumétrie initiale du logis
5.3 Bilan des hypothèses et questionnement à l’issue de l’étude

6. Annexes

6.1 La fondrière
6.2 Géométrie d’implantation
6.3 Restitutions : maquette et image 3 D
6.4 Rapport d’activité de 1978
6.5 Étude d’impact archéologique de 1988

Bibliographie

Table des illustrations

III. Inventaires techniques

IV. Addenda


1. Étude historique
2. Éléments d’analyse et étude comparative du plan du château de Dourdan
3. Résumé du rapport de fouilles BOURGEAU, COXALL 1988
4. Glossaire des termes employés
5. Bibliographie des annexes

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

LENHARDT, Philippe (dir.). 2011. Dourdan (Essonne), "Château de Dourdan" : étude du parement de la courtine sud-est et des salles sud-est (Rapport de fouille, 1 vol.). Pantin : Inrap Centre Île-de-France. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0122045>.

Rapport de diagnostic

GOUSTARD, Vincent (dir.). (2013). Dourdan (Essonne), Cour du château de Dourdan : 10 place du Général de Gaulle (rapport de diagnostic, 1 vol.). Pantin : Inrap Centre Île-de-France. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0128412>.

Publications

PIOZZOLI, Christian. (2020). Le château de Dourdan (Essonne) : éléments d’interprétation fonctionnelle du bâti. Dans H. Mouillebouche, N. Faucherre et D. Gautier (dir.), Le château de fond en comble. Hiérarchisation verticale des espaces dans les châteaux médiévaux et modernes : Actes du 7e colloque international au château de Bellecroix, 18-20 oct. 2019. Chagny : Centre de castellologie de Bourgogne.

BALUT, Pierre-Yves. (1982). Restauration, restitution, reconstitution. Revue d’archéologie moderne et d’archéologie générale1, 95-109.

Citations

LENHARDT, Philippe (dir.), LABAT, Olivier, VIRÉ, Marc, MORANO, Roland, MITTON-FARNIÉ, Isabelle et coll. (2020). Château de Dourdan : étude du parement de la courtine sud-ouest et des salles sud-est (Île-de-France, Essonne, Dourdan) : rapport de fouille archéologique 2011. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 7). <https://doi.org/10.34692/2eyq-ec58>.

Auteur(s) / direction
Chronique de site
Château de Dourdan à Dourdan (Essonne)
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Le heurt de Bouvereul : étude d'un dépotoir public à Rouen au XVIe siècle (Normandie, Seine-Maritime, Rouen, 1 et 5A rue Pouchet, 15-23 rue Verte, 26 boulevard de la Marne)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2015

Numéro DAP
5
Image d'entête
DAP 5 | Rouen « Heurt de Bouvereul » (Seine-Maritime)
Média
DAP 5 | Rouen « Heurt de Bouvereul » (Seine-Maritime)
date expertise
mai 2016
date achevement
septembre 2015
Paragraphes

Le projet de construction immobilière Rue Pouchet / Rue Verte à Rouen a justifié un diagnostic archéologique (Guillot, 2012) suivi d'une fouille au cours du quatrième trimestre 2012. Elle a permis d'étudier la mise en place et l'organisation d'un grand dépotoir public au XVIe siècle, nommé heurt dans les textes (de l'ancien français hourd, tertre ou monticule). La parcelle fouillée se trouve au nord-ouest du centre-ville « historique », hors de l’enceinte mais aux abords du château du XIIIe siècle et d’un des principaux accès à la cité, la Porte Bouvreuil.

L’étude du site a montré que l’on se situe dans un secteur faiblement occupé avant la décision politique de choisir cet emplacement comme lieu de rejet pour une partie des détritus rouennais durant la seconde moitié du XVIe siècle.
La fine stratigraphie observée résulte directement du mode de transport des déchets par banneaux ou charrettes. Ainsi, le heurt se constitue peu à peu, avec le versement, depuis le sud-ouest, de toutes sortes de matériaux. Que ce soit lors du ramassage des détritus, ou une fois ces derniers arrivés dans le dépotoir, le mobilier qui peut être recyclé est mis de côté. Un indice sur la rapidité des arrivages est fourni par le faible pourcentage d’ossements exposés aux intempéries, à un abandon prolongé à l’air libre, ou portant des traces des charognards.

Sur les 6 000 m3 fouillés, plus de 4 000 m3 concernent directement le heurt. La nature des terres et la masse de mobilier retrouvée, plus de 100 000 restes, permettent d’avoir une bonne représentation de la composition de ce heurt, malgré quelques biais et absences : les objets qui ne sont jamais jetés, ceux recyclés, ou ceux en matériaux périssables. Bien qu’il ne soit pas possible de connaître la proportion exacte des pièces luxueuses présentes dans le heurt, leur nombre témoigne du goût pour l’ornementation et de la sensibilité à la mode des bourgeois, aristocrates et religieux au début de la Renaissance. On peut citer les agrafes à crochets décorées ou le luxe apporté par la chaleur des poêles sans le désagrément de la fumée ou du bruit. Pour la table, on trouve des coupes à boire en grès, des pichets, des assiettes et des plats, très décorés et même quelques-uns en faïence italienne (et non rouennaise…), des salières et des réchauffe-plats. Remarquons un plat dit de la Passion qui fut probablement disposé sur un dressoir et que l’on pouvait admirer dans une salle. Parmi les animaux consommés, se rapportant globalement à une population urbaine « classique », se distinguent des espèces liées à une élite, comme le gros gibier (cerf, chevreuil et daim), le paon ou le dauphin/marsouin, et à un mode de cuisson particulier, le rôti.

Ces recherches ont permis d'étudier, pour la première fois en Normandie, voire en France, un dépotoir public créé ex-nihilo sur un terrain plat faiblement occupé, contrairement à l'utilisation plus courante de fossés ou de grandes fosses comme réceptacle des déchets. La mise en relation avec les textes a complété les données archéologiques et a élargi le sujet à la gestion des déchets à Rouen au XVIe siècle.
L'opération a également été l'occasion d'expérimenter une stratégie de fouille particulière qui tenait compte de la fine stratification du dépôt, du pendage des niveaux et qui permettait de recueillir l'abondant mobilier dans un délai contraint. Un carroyage de 2 m de côté a été mis en place en amont, et le terrassement a été effectué mécaniquement par palier d'un mètre de hauteur pour atteindre une profondeur de 8 m. Le mobilier étant localisé en « x, y, z », un système d'Information géographique a été mis en œuvre afin d'identifier les grands ensembles du dépotoir. Les parois ont fait l'objet d'une couverture photographique complète aboutissant à une photogrammétrie de la fouille.

En 2015, un diagnostic réalisé rue du Donjon à Rouen, à une centaine de mètres au sud-est de la fouille de la rue Pouchet, a également mis en évidence un autre heurt, daté globalement de la même période (Calderoni, 2015). La fouille qui a suivie, menée selon la même stratégie, a complété nos données sur ces grands dépotoirs mais dans un environnement différent puisqu'on se situe là aux abords de la Porte Bouvreuil et que les déchets ont été jetés en partie dans le fossé entourant le donjon médiéval (Guillot, 2020). Enfin, divers diagnostics plus récents dans la ville (Guillot & Lecler-Huby, 2016 ; Roussel et coll., 2019) ont également mis au jour des heurts mais cette fois ci accumulés contre les fortifications, du côté intérieur.

Toutes ces observations archéologiques, ainsi que les recherches parallèles menées à la fois sur le mobilier et en archives, devraient déboucher sur le lancement, en 2020, d'un projet collectif de recherche intitulé « Gestion des déchets et de l'insalubrité à Rouen à la fin du Moyen Âge et pendant la période moderne ». Ce PCR pourrait s'étendre ensuite à l'ensemble des villes normandes et devrait s'achever sur un colloque et sur une publication à l’horizon 2023.

Sommaire

Volume 1 : texte

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. Le contexte

1.1 Le contexte géologique
1.2 Rappel historique sur Rouen
1.3 L’environnement historique et archéologique du site

2. Modalités de l’opération

2.1 Le diagnostic de 2012
2.2 Hypothèses et cahiers des charges scientifiques
2.3 Méthodes mises en œuvre

3. Les premières occupations

3.1 Un premier fossé non daté
3.2 Des terres à jardins de la fin du Moyen Age

4. Le heurt

4.1 Des fosses dépotoir
4.2 La mise en place du heurt
4.3 La composition du heurt

5. Le mobilier céramique

5.1 Présentation du lot
5.2 Choix et méthodologie
5.3 Le corpus
5.4 Le catalogue

6. Étude archéozoologique (lignes 20 à 26, niveau z4)

6.1 Présentation liminaire du dépôt
6.2 Analyse du spectre faunique
6.3 Distributions anatomiques
6.4 Analyse des traces de découpe
6.5 Qualités des viandes consommées
6.6 Conclusion

7. La gestion municipale des déchets à Rouen (1400-1790)

7.1 Historique des parcelles de l’emprise
7.2 Les débuts d’une gestion collective des déchets urbains
7.3 Les Heurts, lieux de décharge
7.4 Le personnel

8. Le petit mobilier

8.1 Le mobilier métallique
8.2 La tabletterie en os, ivoire et en bois de cerf
8.3 Les carreaux en terre cuite

9. Synthèse générale

9.1 La constitution du heurt : date et aménagements
9.2 La composition du heurt : qui sont les habitants utilisant le dépotoir ?
9.3 La répartition du mobilier : premiers résultats

Bibliographie


Volume II : annexes

  1. Inventaire des Unités Stratigraphiques
  2. Inventaire des structures fossoyées
  3. Inventaire général du mobilier céramique
  4. Liste du mobilier inventorié (tous niveaux)
  5. Inventaire détaillé du mobilier céramique du niveau z4
  6. Inventaire général des restes osseux
  7. Inventaire détaillé des restes osseux (lignes 20 à 26, niveau z4)
  8. Inventaire général malacologique
  9. Inventaire général du petit mobilier
  10. Inventaire numismatique
  11. Les triomphes de l’abbaye des Conards,1587
  12. Inventaire des photographies et des plans
Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

GUILLOT, Bénédicte (dir.). (2015). Le heurt de Bouvereul, Rouen (Seine-Maritime) : Étude d'un dépotoir public à Rouen au XVIe siècle (Rapport de fouille, 2 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0139806>.

Rapports cités dans l'introduction

GUILLOT, Bénédicte (dir.). (2020). Butte, fossé, heurt et jardins au nord du Donjon de Rouen, (XIIe-XXe siècle) (Haute-Normandie) (Rapport de fouille, 2 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0161029>.

ROUSSEL, Faustine, CARDON, Thibault, COTTÉ, Olivier & LECLER-HUBY, Élisabeth. (2019). Un heurt à l'intérieur de l'enceinte médiévale, 14 rue de Lemery, Rouen, (Seine-Maritime) (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0155369>.

GUILLOT, Bénédicte & LECLER-HUBY, Élisabeth. (2016). L'enceinte médiévale de Rouen vers la place Cauchoise (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Cesson-Sévigné: Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0140064>.

CALDÉRONI, Paola (dir.), GUILLOT, Bénédicte & BÉMILLI, Céline. (2015). La contrescarpe du fossé du donjon à Rouen (Haute-Normandie) (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0136672>.

GUILLOT, Bénédicte (dir.). (2012). 1 et 5A rue Pouchet, 15 à 23 rue Verte, 26 bd de la Marne, Rouen, (Seine-Maritime) (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0125110>.

Publications

GUILLOT, Bénédicte. (2018). La gestion des déchets à Rouen au XVIe siècle. Premiers résultats de la fouille préventive de deux « heurts » ou décharges publiques. Les nouvelles de l'archéologie151, 16-21. <https://doi.org/10.4000/nda.3950>.

GUILLOT, Bénédicte. (2017). Fortification et heurt : évolution du quartier au pied du donjon de Rouen (Seine-Maritime). Dans Collectif,  Journées archéologiques de Normandie, Rouen, 30 sept. - 1er oct. 2016 ( p. 221-226). Rouen : Presses Universitaires de Rouen et du Havre.

GUILLOT, Bénédicte, LECLER-HUBY, Élisabeth & LEMAÎTRE, Guillaume. (2014). Rouen (Seine-Maritime), rue Verte, rue Pouchet, premiers résultats de la fouille du « heurt du Chastel » (XVIe siècle). Dans L. Liogier (dir.), Journées archéologiques de Haute-Normandie, Rouen, 24-26 mai 2013 (p.199-202). Rouen : Presses Universitaires de Rouen et du Havre.  Disponible en ligne sur <https://books.openedition.org/purh/3984?lang=fr> (consulté le 13 décembre 2019).

Citations

L’ensemble

GUILLOT, Bénédicte (dir.), BARME, Maude, GUIHARD, Pierre-Marie, LECLER-HUBY, Élisabeth, LE MAHO, Serge, LEMAÎTRE, Guillaume, PETIT, Pauline et coll. (2019). Le heurt de Bouvereul : étude d'un dépotoir public à Rouen au XVIe siècle (Normandie, Seine-Maritime, Rouen, 1 et 5A rue Pouchet, 15-23 rue Verte, 26 boulevard de la Marne) : rapport de fouille archéologique 2015. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 5). <https://doi.org/10.34692/x88f-w486>.

Le volume 1

GUILLOT, Bénédicte (dir.), BARME, Maude, GUIHARD, Pierre-Marie, LECLER-HUBY, Élisabeth, LE MAHO, Serge, LEMAÎTRE, Guillaume, PETIT, Pauline et coll. (2019). Le heurt de Bouvereul : étude d'un dépotoir public à Rouen au XVIe siècle (Normandie, Seine-Maritime, Rouen, 1 et 5A rue Pouchet, 15-23 rue Verte, 26 boulevard de la Marne) : rapport de fouille archéologique 2015. Vol 1, Textes. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 5). <https://doi.org/10.34692/x88f-w486>.

Le volume 2

GUILLOT, Bénédicte (dir.), BARME, Maude, GUIHARD, Pierre-Marie, LECLER-HUBY, Élisabeth, LE MAHO, Serge, LEMAÎTRE, Guillaume, PETIT, Pauline et coll. (2019). Le heurt de Bouvereul : étude d'un dépotoir public à Rouen au XVIe siècle (Normandie, Seine-Maritime, Rouen, 1 et 5A rue Pouchet, 15-23 rue Verte, 26 boulevard de la Marne) : rapport de fouille archéologique 2015. Vol 2, Annexes. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 5). <https://doi.org/10.34692/x88f-w486>.

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