La Grande Maçonnais : forge antique du IIe siècle, habitat du Xe-XIe siècle (Bretagne, Ille-et-Vilaine, Torcé)

Sous-titre

Rapport de fouille 2015

Numéro DAP
29
Image d'entête
DAP 29 | Torcé « La Grande Maçonnais » (Ille-et-Vilaine)
Média
DAP 29 | Torcé « La Grande Maçonnais » (Ille-et-Vilaine)
date expertise
septembre 2015
date achevement
mai 2015
Paragraphes

Le site de « La Grande Maçonnais » à Torcé (Ille-et-Vilaine), sur le tracé de la LGV Rennes-Le Mans, a fait l’objet d’une fouille archéologique en 2013 sur une surface de 2,3 hectares, suite à un diagnostic archéologique (Juhel et al., 2010). Ce dernier a d’ailleurs permis de révéler un second site au lieu-dit « Vassé » (800 m à l’est) mis aussi en ligne dans cette collection (Cahu et al., 2014). Ces deux opérations de fouilles archéologiques se placent au sud et au sud-est du bourg de Torcé, à moins d’un kilomètre de son église. Cette dernière, avec sa crypte et son sarcophage en plomb, non datés, comporte des éléments architecturaux du XIe siècle. Sa dédicace à Saint Médard (évêque du VIe siècle) pourrait être un indice de plus grande ancienneté. Juste à côté, la découverte de sarcophages en calcaire coquillier, lors du nivellement de la motte castrale au XIXe siècle, en ajoute un supplémentaire. Ce mode d’inhumation, le plus prestigieux pour la période et la région, est en usage du VIe aux Xe-XIe siècles.
Entre ces deux opérations de fouille et le bourg de Torcé, il faut encore noter un diagnostic archéologique qui a mis en avant des éléments mobiliers antiques mais également d’époque mérovingienne (Le Boulanger et al., 2012). Dans le cadre du PCR sur l’habitat rural du haut Moyen Âge en Bretagne, des caramels de cuisson d’un pot issu de ce diagnostic ont récemment fait l’objet d’une datation radiocarbone : Ils offrent une datation calibrée à deux sigmas (95,4% de probabilités) comprise entre 433 et 592 (1545+/-30 BP).
Plus à l’est, à près d’1,7 km, la fouille de « Mauzé » dévoile une installation romaine, où de nombreux rejets suggèrent de probables ateliers de tuiliers et de céramique commune (Robert et al., 2012).
Ainsi, le site de « La Grande Maçonnais », de l’époque antique au Xe-XIe siècle, se place certainement dans un terroir organisé, proche d’un probable lieu de culte et très probablement de pouvoir dès le haut Moyen Âge.

Sur « La Grande Maçonnais », la fouille a révélé une longue occupation.
Les premiers indices anthropiques datent du Néolithique et sont strictement mobiliers (céramique et lithique).
L’âge du Fer se distingue principalement par la création d’un réseau parcellaire. Deux fosses complètent les vestiges de cette période. L’une d’elles fournit un lot de céramiques domestiques du Ve siècle av. J.-C provenant d’un possible habitat à proximité de l’emprise étudiée.
La période antique se caractérise par deux grands temps. D’abord, la trame parcellaire préexistante évolue au cours des Ier-IIe siècles. Dans la seconde moitié du IIe siècle, un atelier de forge, associé à un puits, s’installe dans la partie ouest de l’emprise. L’ensemble occupe une aire de 400 m². Ensuite, côté est, reprenant une trame fossoyée antique, un chemin nord-sud se met en place.

Un nouveau changement s’opère à partir des VIe-VIIe siècles. S’appuyant sur cet axe viaire antique, l’occupation du haut Moyen Âge se caractérise d’abord par un parcellaire fossoyé qui scinde l’emprise de fouille entre espace agricole ou boisé et espace habité. Les indices d’habitat se concentrent alors à l’est et le long de la limite sud d’emprise, tandis qu’une une parcelle vierge de structures (champs, bois ?) d’une surface minimum de 1,4 hectares (143 m sur 100 m) se dégage dans toute la partie nord-ouest de la fouille.
Autour des Xe-XIe siècles, trois espaces bâtis sur poteaux ont été reconnus.
Le premier, au sud, composé d’un unique bâtiment et de quelques fosses, est construit le long d’un fossé parcellaire de direction est-ouest. Au nord du fossé, l’espace semble délaissé ; au sud, quelques fosses et trous de poteau épars se remarquent. On ne peut exclure que cette occupation modeste puisse se développer plus amplement hors emprise.
Le second, à l’est du chemin, correspond à une unité domestique liée au premier espace par un large passage entre deux fossés. Elle se développe autour d’un bâtiment central de 42 m2 sur 8 poteaux, qu’une datation C14 cale entre 890 et 1030. A proximité, quelques trous de poteau dont l’organisation reste floue, une ample fosse très charbonneuse, un grenier sur poteaux et un éventuel gerbier complètent cet ensemble.
Enfin, un troisième espace, côté ouest à proximité de la limite nord de l’emprise, est constitué par une partie d’enclos fossoyé. Plusieurs indices permettent de placer cet espace vers les VIe-VIIe siècles. Lui succède au Xe-XIe siècle un ample bâtiment sur poteaux associé à une fosse de rejet.
Cette dernière construction développe un plan atypique par l’ampleur de ses trous de poteau et surtout par son plan qui se caractérise par deux modules de quatre poteaux de fort diamètre, juxtaposés et alignés, dégageant un éventuel passage interne large de 6,50 m. La construction occupe une surface de 80 m2. Ces avant-trous pour la pose des pièces de bois et la portée nécessaire à certains écartements (6,50 m), suggèrent une construction imposante avec un probable étage. Son plan évoque celui des édifices de type manorial qui se développent dans la seconde moitié du Moyen Âge, à savoir les logis-portes, mais il paraît, dans notre contexte, fort anachronique.
Enfin, dans un dernier mouvement, à partir de la fin du Moyen Âge, nous observons la mise en place progressive d’un parcellaire lanièré.

L’essentiel du mobilier céramique provient de la fosse de rejet située au pied de cette construction. Le vaisselier se compose presque uniquement de formes hautes fermées, pots destinés à la cuisson de bouillies et gruaux, ainsi qu’au stockage ; il faut noter la présence d’un pied de lampe certainement d’importation. La majorité du lot métallique est aussi en relation avec cet ensemble : il s’agit essentiellement de clous de charpente provenant sans doute de l’imposante bâtisse citée précédemment.

Pour la période médiévale, l’étude anthracologique nous renseigne sur un environnement boisé de type chênaie-hêtraie dense à côté d’espaces semi-ouverts, de friches, de landes et d’une zone ripisylve. L’approvisionnement en bois se fait dans ces différents milieux, mais la chênaie encore dense et sans doute proche est privilégiée. Avec une très mauvaise conservation des graines, la carpologie met tout de même en avant le triptyque blé- avoine-seigle que nous retrouvons à une échelle régionale plus large. Sur le site voisin de « Vassé » (VIIe-IXe siècle ; Cahu et al., 2014), une place prépondérante est faite à la céréaliculture, et les légumineuses sont largement en retrait. Sur « La Grande Maçonnais », les données sont pauvres, mais elles semblent y faire écho.

Cette fouille s’intègre assurément dans la programmation nationale de la recherche archéologique (CNRA), et plus particulièrement dans celle de l’étude de l’espace rural, du peuplement et des productions agricoles aux époques gallo-romaine, médiévale et moderne (axe 10). En outre, le bâtiment atypique pourrait avoir une résonance élitaire et s’intègre assurément dans l’axe 11 consacré aux constructions élitaires, fortifiées ou non, du début du haut Moyen Âge à la période moderne. À l’échelle nationale et régionale, ce site participe à un important renouvellement des connaissances acquises autour de ces thèmes depuis une vingtaine d’années. Et cette contribution se place dans un contexte archéologique fort centré sur la paroisse de Torcé, dans l’est du département de l’Ille-et-Vilaine.

Enfin, répondant à cet accroissement des données et aux préconisations du CNRA, le site de « La Grande Maçonnais » s’intègre parfaitement à la recherche mise en place en Bretagne depuis 2019 dans le cadre d’un projet commun de recherche (PCR) dédié au premier Moyen Âge : Formes, nature et implantation des occupations rurales en Bretagne du IVe au XIe siècle de notre ère. Ce travail en cours devrait déboucher sur un colloque et une publication.

Sommaire

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. Cadre général de l'intervention archéologique

1.1. Cadre naturel
1.2. Cadre historique et archéologique
1.3. L'intervention archéologique. Stratégie, méthodes et contraintes

2. L'occupation archéologique

2.1. Diagnostic archéologique à l'ouest de la RD 406
2.2. À l'est de la RD 406, la zone de fouille: du Néolithique à l'époque contemporaine

3. Étude de la céramique protohistorique

4. Étude de la céramique antique

5. Étude de la céramique médiévale

6. Étude du mobilier lithique

7. Analyse du mobilier métallique

8. Étude paléométallurgique

9. Étude anthracologique

10. Étude carpologique

11. Étude pétrographique de la céramique

12. Conclusion

Bibliographie

Liste des figures

III. Inventaires techniques

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

CAHU, Didier (dir.),  BLANCHET, Stéphane, DIEU, Yoann, HALLAVANT, Charlotte, MORZADEC, Hervé, NICOLAS, Théophane, SEIGNAC, Hélène, SIMON, Laure & ZAOUR, Nolwenn. (2015). Torcé (Ille-et-Vilaine), La Grande Maçonnais, forge antique du IIe siècle, habitat du Xe-XIe siècle (Rapport de fouille, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0136763>.

Rapport de diagnostic

JUHEL, Laurent (dir.), LABAUNE-JEAN, Françoise, NICOLAS, Théophane, OEIL DE SALEYS, Sébastien, AH-THON, Emmanuelle, BÉLANGER, Céline & BOUMIER, Frédéric. (2010). Louvigné-de-Bais, Torcé, Etrelles, Argentré-du-Plessis (Ille-et-Vilaine), LGV, secteur 3. Occupations du Néolithique à l’époque moderne sur le tracé de la LGV Rennes-Le Mans (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand-Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0118667>.

Rapports cités dans l'introduction

CAHU, Didier (dir.), BOULINGUIEZ, Philippe, BRISOTTO, Vérane, DUPRÉ, Mathilde, HALLAVANT, Charlotte, LABAUNE-JEAN, Françoise, MORZADEC, Hervé, ROBIN, Boris & SEIGNAC, Hélène. (2014). Torcé (Ille-et-Vilaine), Vassé, habitat enclos fin VIIe-IXe siècle (Rapport de fouille, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0131276>.

LE BOULANGER, Françoise (dir.), CONAN, Julie, LABAUNE-JEAN, Françoise, NICOLAS, Théophane & POIPRÉ, Pierre. (2012). Torcé (Ille-et-Vilaine), La Petite Gatellerie, indices d’occupation du Néolithique et du haut Moyen Âge (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0122660>.

ROBERT B., DAVERAT L., AOUSTIN D., BERNIER M., COUTELAS A., GUTEL G., MARCOUX N., VISSAC C. & WARDIUS C. (2012). Torcé (Ille-et-Vilaine), Mauzé, LGV Le Mans-Rennes (Rapport de fouille). SRA Bretagne : France Archéologie.

Citations

CAHU, Didier (dir.), BLANCHET, Stéphane, DIEU, Yoann, HALLAVANT, Charlotte, MORZADEC, Hervé, NICOLAS, Théophane, SEIGNAC, Hélène, SIMON, Laure & ZAOUR, Nolwenn. (2022). La Grande Maçonnais : forge antique du IIe siècle, habitat du Xe-XIe siècle (Bretagne, Ille-et-Vilaine, Torcé) : Rapport de fouille 2015 (1 vol.). Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 29). <https://doi.org/10.34692/ec4e-zx89>.

Auteur(s) / direction
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La Grande Maçonnais à Torcé (Ille-et-Vilaine)
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Un établissement agricole du second âge du Fer (Bretagne, Ille-et-Vilaine, Erbrée « La Huperie »)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2017

Numéro DAP
11
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DAP 11 | Erbrée « La Huperie » (Ille-et-Vilaine)
Média
DAP 11 | Erbrée « La Huperie » (Ille-et-Vilaine)
date expertise
septembre 2017
date achevement
mai 2017
Paragraphes

Le site d’Erbrée « La Huperie » en Ille-et-Vilaine, a fait l’objet d’une fouille durant l’hiver 2014-2015 à l’emplacement d’une future plate-forme logistique d’Inter-Marché. Elle fait suite à un diagnostic réalisé en 2014 (Aubry, 2014). Le projet initial portant sur 24 ha, ce sont 6,25 ha qui ont été décapés dans le cadre de cette fouille. L’ensemble est situé sur un plateau à une altitude moyenne de 133 m NGF, dominant un réseau hydrologique assez fourni et reposant sur des formations limoneuses éoliennes venant recouvrir des altérites du Briovérien. Il se présente sous la forme d’une ferme indigène isolée, dont l’occupation est attestée du Hallstatt final jusqu’à la fin de La Tène finale. Quelques rares indices laissent penser à une présence humaine à l’époque antique et médiévale, sans qu’il soit possible de parler de perduration et sans que le diagnostic ait permis de localiser leur emplacement.

Le site est structuré sous la forme d’enclos accolés et emboîtés, moins bien conservés en façade sud. L’entrée principale se fait vers l’est, à partir d’un chemin est-ouest traversant deux enceintes. Un autre chemin au nord, paraît se rattacher à un parcellaire, menant vraisemblablement aux champs. À l’intérieur de la partie centrale des enclos, dans ce qui pourrait être l’enclos principal, se trouve un ensemble de bâtiments sur poteaux et tranchées à parois rejetées. Certains ont la particularité de présenter des plans facilement lisibles formant un carré à quatre poteaux. Des recoupements entre eux, ainsi qu’avec des fossés de partition, permettent de proposer un phasage à l’intérieur de la période de La Tène. Les greniers sur quatre poteaux sont soit rejetés dans les enclos extérieurs, soit à proximité de bâtiments mais pas dans l’enclos principal. Il semble donc y avoir une nette séparation entre la partie habitat et la zone de stockage. De même certains enclos vides de toute construction doivent correspondre à des emplacements de pacage pour les animaux ou des zones maraichères.

Le mobilier non céramique retrouvé correspond à celui présent dans les fermes de cette période permettant de travailler le bois, à savoir : fer de hache, peut-être un ciseau à bois et une serpe à croc (pour les récoltes). Il faut y ajouter des fragments de meule témoin d’une activité domestique. Par contre la non conservation de la faune dans les milieux acides ne permet pas de préciser la nature des élevages.

Il faut noter la présence d’au moins un foyer de forge ayant livré une forte concentration de scories et de culots témoignant soit d’une accumulation dans le temps, soit d’une demande de plusieurs fermes sur un court laps de temps.

Jusqu’à maintenant, le site de référence local pour cette période restait la fouille de « La Grande Haie » à Vitré (Hamon, 2010). Le site d’Erbrée permet de compléter nos connaissances pour le second âge du Fer dans ce secteur géographique peu documenté. En effet, nous manquons encore de données pour mieux appréhender l’implantation de ces établissements dans ce terroir restreint. Quel est l’impact à la fois sur l’environnement et sur l’économie locale. Ils semblent en effet vivre en relative autarcie. Il n’y a pas comme pour les établissements proches de Rennes, une implantation gallo-romaine venant se superposer à l’établissement gaulois.

La fouille du site d’Erbrée s’intègre donc dans l’axe 5 de la programmation nationale de la recherche archéologique en France. En effet elle concerne à la fois l’organisation de l’espace rural à l’âge du Fer et les formes d’occupation.

Sommaire

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. L’opération archéologique

1. ​Introduction

1.1. Circonstances
1.2. Contexte géographique et géologique
1.3. Contexte archéologique
1.4. Méthode
1.5. Données du diagnostic
1.6. Les objectifs scientifiques

​2. Phases d'occupations

2.1 Introduction
2.1. Période contemporaine
2.2. Période gauloise
2.3. L’occupation gallo-romaine
2.4. Phasage du site Jean-Claude Durand
Conclusion
Bibliographie
Listing des figures
Listing des tableaux
Annexes

III. Inventaires techniques

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

DURAND, Jean-Claude (dir.). (2017). Un établissement agricole du second âge du Fer, "La Huperie", Erbrée, (Ille-et-Vilaine) (Rapport de fouille, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand-Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0146277>.

Rapports cités dans l'introduction

AUBRY, Laurent (dir.). (2014). Plateforme logistique de la Huperie, Erbrée, (Ille-et-Vilaine) (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand-Ouest, SRA Bretagne. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0132136>.

HAMON, Anne-Louise (dir.). (2010). La ferme laténienne de la Grande Haie : Vitré, Boulevard de Laval (Ille-et-Vilaine) (Rapport de fouille, 1 vol.). Cesson-Sévigné : Inrap Grand-Ouest, 2010. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0114469>.

Citations

DURAND,Jean-Claude (dir.), BRISOTTO, Vérane , DELAGE, Richard, DELNEF, Hélène, MAGUER, Patrick, MORZADEC, Hervé, PETIT, Pauline, SEIGNAC, Hélène, ZAOUR, Nolwenn et coll. (2020). Un établissement agricole du second âge du Fer (Bretagne, Ille-et-Vilaine, Erbrée « La Huperie ») : rapport de fouille archéologique 2017. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 11). <https://doi.org/10.34692/7sye-t329>.

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La Huperie à Erbrée (Ille-et-Vilaine)
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