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Actualités de l'Inrap
Éclats de flèche, outils de silex, dépôts de céramique, monnaie, habitats...les archéologues de l'Inrap ont mis au jour à Sainte-Anne-d’Auray de nombreux vestiges d'occupation humaine s'étalant du Mésolitique (environ 10 000 à 6 000 avant notre ère) au IIIe siècle de notre ère.
L'Inrap fouille au cœur du fort Saint-Louis, sur le site de l'ancien pavillon Hubert à Fort-de-France. Les nombreux vestiges découverts permettent aux archéologues de retracer quatre siècles de présence militaire de l’une des fortifications les plus importantes des Antilles françaises.
A Saint-Brieuc, l'Inrap fouille le cœur de la ville médiévale et moderne où cinq mètres de stratigraphie révèlent une occupation urbaine dense du site depuis la fin du Moyen Âge.
Une fouille de l'Inrap à Die (Drôme) a délivré une authepsa en alliage cuivreux, un objet luxueux et rarissime du monde romain, à découvrir alors que s'est ouverte l'exposition Pompéi au Grand Palais.
A Pietroso, dans la plaine d’Aléria au pied du Massif du Monte Incudine, les archéologues de l'Inrap ont mis au jour un vaste établissement rural de l'époque romaine, composé d'un étonnant ensemble de structures hydrauliques.
Des indices de culture de la vigne ont été découverts à l'occasion d'opérations de fouilles de l'Inrap à Alba-la-Romaine. Une étude multidisciplinaire, tend à indiquer que la vigne était cultivée dans le sud de l'Ardèche dès le Ve siècle avant notre ère.
Etablissement public national, l’Inrap est le principal opérateur archéologique préventive en Europe. Il compte plus de 2 000 collaborateurs répartis sur tout le territoire national au sein de 8 directions inter régionales et regroupe plus de 60 métiers et spécialités. Au regard de son activité scientifique, patrimoniale et culturelle riche et diversifiée, l'Institut accorde une importance particulière au recrutement de ses collaborateurs, à leurs compétences comme à leur engagement professionnel.
Le 16 juillet 2020, Dominique Garcia, président de l’Inrap, et le général Alexandre d’Andoque de Sériège, directeur du musée de l'Armée, en présence de Daniel Guérin, directeur général de l'Inrap, et d'Ariane James-Sarazin, directrice adjointe du musée de l'Armée, ont signé un accord-cadre formalisant leur souhait de se rapprocher afin de mettre en valeur l’apport de l’archéologie préventive dans la connaissance de l'histoire des batailles.