Derrière les Grands Clos (Champagne-Ardenne, Marne, Saint-Gibrien)

Sous-titre

Rapport de fouille 2014

Numéro DAP
33
Image d'entête
DAP 33 | Saint-Gibrien « Derrière les Grands Clos » (Marne)
Média
DAP 33 | Saint-Gibrien « Derrière les Grands Clos » (Marne)
date expertise
novembre 2014
date achevement
août 2014
Paragraphes

La présente fouille a été réalisée à Saint-Gibrien, au lieu-dit « Derrière les Grands Clos », en 2012, sur 8280 m². Les occupations recensées indiquent une durée d’occupation quasiment ininterrompue entre le Néolithique moyen II et La Tène, soit 4500 ans. Pour chaque période, la densité de vestiges en creux ou mobiliers est lacunaire, mais présente de forts intérêts par leur nature.

La plus ancienne phase d’occupation remonte au Néolithique moyen II et se caractérise par des indices forts de la proximité d’un habitat. Trois grandes fosses détritiques, mises au jour à l'extrémité ouest de l’emprise, livrent des mobiliers lithiques et céramiques typiques du groupe de Michelsberg. Les datations radiocarbone indiquent que les fosses ont été comblées durant le milieu voire la fin du Néolithique moyen II1. Les occupations de cette période ne sont pas fréquentes dans cette partie de la plaine chalonnaise, bien qu’une fosse à profil en « Y », fouillée sur la parcelle juste au sud en 2002, ait été rattachée à celle-ci par la datation d’un charbon de bois extrait de la couche initiale de comblement. La spécificité de cette petite occupation relève surtout de la reconnaissance la plus méridionale, à ce jour, du groupe de Michelsberg en Champagne. Ces données abondent la vision de l’expansion géographique des groupes culturels du Néolithique moyen II dans la Marne, enrichissant les programmes de recherche et publications en cours régionalement (projet d’activité scientifique sur les occupations diachroniques d’une portion de vallée de la Marne à Athis dirigé par M. Frouin (SRA Île-de-France) et PCR sur les complexes miniers néolithiques de la région des Marais de Saint-Gond dirigé par R. Martineau (CNRS).

Deux fosses datées du Néolithique récent montrent une perduration d’activités cynégétiques débutée durant le Néolithique moyen II, l’une au profil en « Y » (st. 1123) et l’autre au profil en « U » (st. 1034). Ces fosses de grande profondeur, qui ont connu des comblements anthropiques plus ou moins rapides mettant en œuvre le substrat, ne comportent pas de mobilier détritique typique d'un habitat. Les nombreux charbons de bois qui en sont issus indiquent un milieu forestier en cours d'ouverture (arbres de lisière), sans pour autant signaler de trace d'agriculture dans l'environnement direct. Les vestiges fauniques livrent des restes de consommation d'aurochs (fosse 1123) ; les charbons présents ont révélé un important volume de branchages consumés (US 1064) évoquant une fumaison des viandes partitionnées sur place. La stature du gibier chassé peut justifier le besoin de transporter la viande prête à consommer ou à conserver. Selon le recensement régional inclus dans l’action collective de recherche (ACR) sur les systèmes de fosses profondes à la Pré- et Protohistoire (Riquier, 2019), sur 86 autres fosses profondes ayant livré des restes de faune, l’aurochs est présent dans 11 fosses, auxquelles il faut ajouter quelques aurochs juvéniles non identifiés qui mettraient l’animal en tête des restes fauniques issus de ces fosses. Seule La fosse 884 de Saint-Léger-près-Troyes (D19), datée de 4765 BP, a également livré des indices de passage au feu sur des fragments osseux d’aurochs, sans que l’intentionnalité du geste soit clairement établie (Achard-Corompt et al., 2013). La fosse de Saint-Gibrien constitue, par la qualité des restes étudiés, un témoin unique d’une pratique de consommation ou préparation in situ du produit de la chasse à l’aurochs et mériterait d’être intégrée aux corpus de l’ACR.

Pour les deux phases d’occupation du Néolithique, les données anthracologiques recueillies sont aussi venues abonder le corpus de sites permettant d’éclaircir le débat sur la présence endogène du Pinus sylvestris en Champagne crayeuse durant l’Holocène (Bellavia et al., 2018).

Un dépôt de cinq pesons, certains entiers, d’autres fragmentés, a été découvert dans la fosse 1061. L’étude et les comparaisons effectuées par F. Médard attribuent ce dépôt à une période comprise entre le Néolithique final et l'âge du Bronze ancien. Ce type de dépôt indiquerai la présence d'un habitat peu éloigné, sur lequel aurait été mis en œuvre du tissage. Malgré un suivi archéologique autour de cette fosse sur des emprises représentant une surface non négligeable (70 m vers le nord-est, 90 m vers le nord-ouest, 70 m vers le sud), aucun témoin d’habitat n'a été découvert. Il faut alors s'interroger sur les diverses hypothèses d'un tel manque de données à mettre en relation avec le dépôt : éloignement plus important sur la parcelle adjacente à l'est, dépôt hors de l’habitat, ou encore implantation érodée ou n’ayant pas laissé de traces interprétables.

Pour la Protohistoire, les occupations sont moins bien cernées chronologiquement, alors que cette période représente la plus grande partie des vestiges recueillis. Deux aires de stockage sont identifiées, l’une en grenier sur poteaux, potentiellement rattachée à l’âge du Bronze final / Hallstatt ancien, l’autre en batterie de silo de La Tène plutôt ancienne.

Douze bâtiments à quatre poteaux porteurs (greniers), trois annexes agricoles assurées et trois bâtiments semblables composent donc, dans un premier temps, une importante aire de stockage sur poteaux. Les bâtiments sont organisés en plusieurs rangées et au moins un chevauchement montre qu'il y a eu plusieurs phases dans ces constructions. L'organisation des bâtiments laisse un vaste espace vide dans le centre ouest de l'emprise. Des systèmes de fossés peuvent être liés à l'occupation bâtie, même si les informations chronologiques sont lacunaires : fossés et bâtiments ne se recoupent pas et les orientations sont similaires. Les constructions sont presque toutes groupées à l'intérieur de zones qui seraient encloses par les fossés. Aucun retour n'a été mis au jour pour la zone ouest ainsi définie, mais l’emprise fouillée est assez allongée. En revanche, la zone est se trouve enclose par un fossé qui montre un retour en direction du sud-est. Si l'interruption de l'enclos semble plutôt due à l'érosion de la craie, la zone ouest montre bien deux ouvertures organisées avec au moins un système structuré. Les systèmes d'enclos ont été incomplètement perçus dans le cadre de cette fouille, puisque l'enclos ouest continue au nord et au sud, et l'enclos est au sud et à l'est. La nature des bâtiments découverts ne suggère pas la présence d'habitat sur le site. Il est davantage probable qu'il s'agisse d'une aire de travail agricole et de stockage des récoltes en grenier. Ce type d'aire organisée en unité de travail agricole peut tout-à-fait être installée à proximité de la zone cultivée. À ce titre, la proximité de la vallée de la Marne, plaine limoneuse potentiellement très fertile, à moins de 50 m du site, peut constituer un intérêt certain.

Dans le quart nord-est de l'emprise, une importante batterie de 32 silos, comme signalé précédemment, a été mise au jour. Les silos ne se recoupent quasiment pas et leur organisation montre que certains schémas, bien que non limitatifs, peuvent être repérés. Au moins deux alignements nord-sud sont caractérisés, ainsi que trois autres qui sont plutôt d'orientation nord-ouest – sud-est. Quelques menus indices montrent des différences de phasage entre les greniers bâtis et la batterie de silo en sous-sol. Celle-ci semble plutôt établie en aire ouverte et les silos ont livré davantage de restes végétaux de faible densité si on considère que leur fonction première est le stockage de denrées alimentaires céréalières. Les remplissages montrent des comblements anthropiques rapides : plusieurs présentent des remblaiements crayeux volontaires indiquant très probablement qu'ils ont été utilisés comme décharge pour les déblais de creusement de nouveaux silos. La totalité des structures n’est donc pas strictement contemporaine. Les éléments mobiliers issus des comblements sont plutôt ténus en ce qui concerne les activités domestiques (faune, céramique ou objets métalliques). Il est donc possible que cette aire de stockage en silo soit éloignée de l'habitat, peut-être pour des raisons similaires à celles évoquées pour les greniers. Les datations radiocarbones restent assez larges et renvoient à La Tène dans sa globalité, ce qui limite le champ des hypothèses sur l'évolution du site.

La batterie de silos a livré trois inhumations d'individus masculins, aux âges variés (adolescents, 20-49 ans, plus de 60 ans), datés de La Tène ancienne, ce qui peut témoigner d'une phase d'abandon, voire de condamnation de la zone de stockage. Ces sépultures complètent les nombreuses données similaires sur la plaine de Champagne durant La Tène. L’une des sépultures (A du silo 1377) apporte un éclairage sur l’attention portée aux individus souffrant d’un fort handicap, dont l’analyse paléopathologique a mis en avant un syndrome de Klippel-Feil, qui a depuis fait l’objet d’une publication plus détaillée (Richard et Darton, 2021).

L’expertise du rapport de fouille en CIRA par Stéphane Marion propose une interprétation plus condensée des chronologies d’occupation, mettant en avant la faible quantité d’éléments datants pour étayer le rattachement des enclos et bâtiments à la période hallstattienne et la faiblesse réelle de l’étude céramique. Pour lui, les établissements seraient davantage tributaires de la topographie du site, plaçant les bâtiments sur les altitudes basses (suivant les courbes de niveaux), et les silos en position haute. Par ailleurs, S. Marion souligne que deux phases distinctes ont pu intervenir dans la mise en place des batteries de silos : la première située entre La Tène A et La Tène C1, et la seconde entre La Tène C2 et le début de la période gallo-romaine. Si la proposition de phasage de l’occupation laténienne est pertinente, le rattachement des enclos et bâtiments au Hallstatt semble confirmé par la synthèse menée sur les nombreux sites contemporains en Champagne (Riquier et al., 2022).

Ces occupations protohistoriques viennent s’insérer dans la forte densité repérée dans ce secteur de la vallée de la Marne. Les bords de la vallée semblent davantage occupés par des nécropoles de l’âge du Bronze ou de La Tène ; les habitats ne sont pas légion et leurs traces restent minces. L’un des points de rattachement en termes de fonctionnement pourrait être l’important site de Saint-Gibrien « Au-Dessus du Vieux Pont », fouillé par A. Villes, en 1990 et 1991, lors du suivi du tracé autoroutier A 26, qui a livré ce qui un habitat centralisateur de la période gauloise (Villes, 1995). Le nombre impressionnant de bâtiment mis au jour sur cette emprise évoque un site de contrôle au statut particulier. Il se trouve à peine à quelques centaines de mètres au nord-ouest de « Derrière les Grands Clos ». Les chronologies d’occupation montrent un phasage important durant le Hallstatt final et La Tène ancienne, qui tendent à indiquer que les sites de stockages de la fouille de 2012 étaient sous son contrôle.

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Beta Analytics SG12F1074US1107 : 3811-3656 BC

Sommaire

Volume 1

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Cadre de l’intervention archéologique

1. Présentation générale

2. Contexte archéologique

2.1. Commune de Saint-Gibrien
2.2. Ancienne Commune de Villers-le-Château (rattachée administrativement à Saint-Pierre)
2.3. Commune de Fagnières
2.4. Commune de Matougues
2.5. Communes de Récy et Saint-Martin-sur-le-Pré

3. Topographie et environnement

4. Environnement géologique et observations géomorphologiques de terrain

5. Méthode de fouille

6. Traitement des données

7. Aperçu des résultats

II. Résultats

1. Le Néolithique moyen II

1.1. Les structures
1.2. Le mobilier céramique du Néolithique moyen II
1.3. Le mobilier lithique en silex
1.4. Conclusion sur l’occupation du Néolithique moyen II

2. Le Néolithique récent

2.1. Les structures
2.2. Conclusion sur l’occupation du Néolithique récent

3. Le Néolithique final / L’âge du Bronze ancien : les poids de tisserand de la fosse 1061

3.1. La fosse 1061
3.2. Le rôle des pesons dans le tissage
3.3. Relevé et enregistrement des données
3.4. Effectif
3.5. Description du matériel
3.6. Fabrication des pesons
3.7. Typo-morphologie
3.8. Éléments de comparaison
3.9. Discussion / Interprétation des vestiges
3.10. Conclusion sur l’occupation du Néolithique final / âge du Bronze ancien

4. La Protohistoire

4.1. La transition entre l’âge du Bronze final et le Hallstatt ancien
4.2. La transition entre le Hallstatt final et La Tène ancienne
4.3. La Tène ancienne à finale
4.4. Les structures protohistoriques au sens large
4.5. Les structures potentiellement protohistoriques
4.6. Éléments de phasage et d’interprétation des occupations protohistoriques
4.7. Le mobilier céramique
4.8. La fibule de l’inhumation du silo 1351 (US 1174, individu A)
4.9. Les inhumations en structures réutilisées

5. Les fosses en “ Y “ non datées

5.1. La fosse 1133
5.2. La fosse 1387
5.3. Conclusion sur les fosses de piégeage de “ Derrière-les-Grands-Clos “

6. Les autres indices chronologiques et les structures non datées

6.1. Les indices d’une présence historique
6.2. Les structures non attribuables et non assimilables à l’une des occupations

7. Études transchronologiques : paléoenvironnement et faune

7.1. Données anthracologiques
7.2. Rapport d’étude carpologique des occupations néolithiques et laténiennes
7.3. Les restes fauniques

8. Synthèse des occupations et éléments de comparaisons

8.1. Le Néolithique et le début de l’âge du Bronze
8.2. La Protohistoire, de l’âge du Bronze final à La Tène
8.3. Occupations historiques d'empreinte faible
8.4. Conclusion sur les structures non datables

9. Conclusion générale

10. Bibliographie

11. Table des figures


Volume 2

12. Annexes des études spécialisées

III. Inventaires techniques

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

LANGRY-FRANCOIS, F. (dir.). (2014). Saint-Gibrien (Marne), « Derrière les Grands Clos » (Rapport de fouilles, 2 vol.). Metz : Inrap Grand-Est. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0134277>.

Rapport de diagnostic

BAUDRY A-C. (dir.). (2012). Saint-Gibrien (Marne), « Derrière les Grands Clos » (Rapport de diagnostic, 1 vol.). Metz : Inrap Grand-Est. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0123324>.

Publications citées dans l'introduction

RIQUIER, V., DESBROSSE, V., REMY, A. (2022). Les établissements palissadés en Champagne, état de la question. Dans C. MAITAY, C. MARCIGNY et V. RIQUIER (dir.), L’habitat rural du 1er âge du Fer, enclos palissadés de l’Atlantique à la Moselle (p. 159-181). Recherches Archéologiques21, Paris : Inrap/CNRS éditions.

RICHARD, I. & DARTON, Y., (2021). Un sujet du second âge du Fer atteint d’un syndrome de Klippel-Feil inhumé dans un silo. Dans S. KACKI, H. REVEILLAS H. et C.J. KNÜSEL (dir.), Rencontre autour du corps malade, Prise en charge et traitement funéraire des individus souffrants à travers les siècles : Actes de la 10e Rencontre du Gaaf, 23-25 mai 2018, Bordeaux (p. 137-140). Reugny : Gaaf.

RIQUIER, V. (coord.), ACHARD-COROMPT, N., AL SANATEE, S., AUBRY, B., AUDE, V., AUXIETTE, G., BAILLEUX, G., BLANCHET, S., BLASER, R., BURGEVIN, A., COUBRAY, S., DANDURAND, G., DIGAN, M., DOLBOIS, J., GEBHARDT, A., GHESQUIERE, E., LEDUC, C., LORIN, Y., MAITAY, C., MARTI, F., MICHLER, M., NERE, E., POISSONNIER, B., REMY, A., RICHARD, I., SANSON, L., THOMAS, Y., TRISTAN, C., WATTEZ, J. & ZUMBRUNN, O. (2019). Les systèmes de fosses profondes à la Pré- et Protohistoire : cartographie des fosses cylindriques et des Schlitzgruben à l’échelle nationale (Rapport d’Axe de Recherches Collectif). Inrap, 319 p.

BELLAVIA, V., DOYEN, E. & WIETHOLD, J. (2018). Nouvelles données anthracologiques de la Champagne (Marne, Grand-Est) entre le Mésolithique et le second âge du Fer et leur implication pour l'histoire du pin sylvestre (Pinus sylvestris L.) dans la région entre le début et le milieu de l’Holocène. Archeosciences, revue d'Archéométrie42 (1), 45-56.

ACHARD-COROMPT, N., AUXIETTE, G., FECHNER, K., RIQUIER, V. & VANMOERKERKE, J. (2013). Bilan du programme de recherche : fosses à profil en V, W, Y et autres en Champagne-Ardenne. Dans N. ACHARD-COROMPT et V. RIQUIER V. (dir.), Chasse, culte ou artisanat ?, les fosses « à profil en Y-V-W », structures énigmatiques et récurrentes du Néolithique aux âges des Métaux en France et alentour : Actes de la table-ronde de Châlons-en-Champagne, 15-16 nov. 2010 (p. 11-74). Dijon : Société Archéologique de l’Est. (Revue Archéologique de l’Est, supplément 33).

VILLES, Alain. (1995). Saint-Gibrien (Marne), Au-dessus du Vieux Pont : L'occupation protohistorique et gallo-romaine. Mémoires de la Société d'Agriculture, Commerce, Sciences et Arts du département de la Marne (S.A.C.S.A.M.), 39-44.

Citations

L'ensemble

LANGRY-FRANÇOIS, Fabien (dir.), BANDELLI, Alessio, BELLAVIA, Valentina, DUBUIS, Bastien, IRRIBARRIA, Roland, MÉDARD, Fabienne, OLLIVE, Vincent, RICHARD, Isabelle, TOULEMONDE, Françoise, ZIPPER, Katinka et coll. (2023). Derrière les Grands Clos (Champagne-Ardenne, Marne, Saint-Gibrien) : rapport de fouille 2014 (2 vol.). Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 33). <https://doi.org/10.34692/33JJ-CR95>.

Le volume 1

LANGRY-FRANÇOIS, Fabien (dir.), BANDELLI, Alessio, BELLAVIA, Valentina, DUBUIS, Bastien, IRRIBARRIA, Roland, MÉDARD, Fabienne, OLLIVE, Vincent, RICHARD, Isabelle, TOULEMONDE, Françoise, ZIPPER, Katinka et coll. (2023). Derrière les Grands Clos (Champagne-Ardenne, Marne, Saint-Gibrien) : rapport de fouille 2014. Vol. 1, Textes. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 33). <https://doi.org/10.34692/33JJ-CR95>.

Le volume 2

LANGRY-FRANÇOIS, Fabien (dir.), BANDELLI, Alessio, BELLAVIA, Valentina, DUBUIS, Bastien, IRRIBARRIA, Roland, MÉDARD, Fabienne, OLLIVE, Vincent, RICHARD, Isabelle, TOULEMONDE, Françoise, ZIPPER, Katinka et coll. (2023). Derrière les Grands Clos (Champagne-Ardenne, Marne, Saint-Gibrien) : rapport de fouille 2014. Vol. 2, Annexes des études spécialisées et inventaires. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 33). <https://doi.org/10.34692/33JJ-CR95>.

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Errata

Page 61, sur la figure 9, une datation erronée a été reportée pour la structure 1074 ; la datation correcte se situe dans le texte : 3811-3656 cal. BC.

Page 86, ligne 4, il faut lire US 1064 et non US 1065.