12 chemin de la Flambère
Les découvertes

En fouillant au 12, chemin de la Flambère en 2008, les archéologues avaient une idée précise des vestiges qu’ils allaient découvrir, la parcelle se situant sur un promontoire en rive gauche de la Garonne, à l’emplacement d’un grand village néolithique connu sous le nom de Saint-Michel-du-Touch.

Offrande déposée avec le défunt
Les découvertes

Au nord de l’agglomération de Toulouse, aux marges des communes de Blagnac et de Beauzelle, l’aménagement en plein champ de la ZAC Andromède a révélé des vestiges liés aux croyances funéraires des habitants du lieu dans l’Antiquité. 

Urne cinéraire
Les découvertes

La fouille du site de Grand noble 2 en 2006 fait suite aux reconnaissances archéologiques réalisées en 2005 sur la ZAC Andromède, à Blagnac.

13 chemin de la Flambère
Les découvertes

Les fouilles engagées en 2007 au 13 chemin de la Flambère se limitent à deux surfaces relativement restreintes (la zone 1 de 195 m2 et la zone 2 de 1 282 m2) correspondant à un projet immobilier.

Visuel1-Saint-Jouan-des-Guerets.jpg
Les découvertes

À Saint-Jouan-des-Guérets, en Ille-et-Vilaine, de nombreux indices  témoignent d’une présence récurrente de l’Homme à partir du Néolithique. Un vaste enclos gaulois a notamment été repéré sur les pentes orientales d’un relief.

Vue zénithale de la « folie » du XVIIIe siècle du château de la Phalecque
Les découvertes

La fouille révèle une occupation du site du Ier siècle avant notre ère au XVIIIe siècle. L’époque moderne est marquée par la présence successive d’un château défensif puis résidentiel. Couplées à des recherches en archives, ces découvertes contribuent à une meilleure connaissance des abords de Lille et la vie quotidienne de ses habitants.

Vern-sur-Seiche-img2
Les découvertes

À Vern-sur-Seiche, en Ille-et-Vilaine, la découverte de deux puissants enclos accolés révèle un espace résidentiel occupé par une famille de haut rang.

Photo Amboise, rue du Petit Bonheur, oppidum des Châtelliers 2015, 3
Les découvertes

Près de 200 indices ont été identifiés lors de la fouille de la rue du Petit Bonheur sur l'oppidum des Châtelliers, dont une douzaine de puits. Cette opération a été menée conjointement par le service de l'Archéologie du département de l'Indre-et-Loire (Sadil) et l'Inrap.

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