Les monnaies de Montignac Le Buy, échelle 1/1.

La fouille préventive réalisée au Buy, à Montignac (Dordogne, Nouvelle-Aquitaine), en 2011, a signé le début d’une aventure archéologique toujours

Chronologie et interprétation des occupations humaines du deuxième âge du Fer au haut Moyen Âge (Montignac, Le Buy)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2014

Numéro DAP
14
Image d'entête
DAP 14 | Montignac « Le Buy » (Dordogne)
Média
DAP 14 | Montignac « Le Buy » (Dordogne)
date expertise
mars 2015
date achevement
septembre 2014
Paragraphes

La fouille préventive réalisée au Buy, à Montignac (Dordogne, Nouvelle-Aquitaine), en 2011, a signé le début d’une aventure archéologique toujours en cours actuellement.
Les opérations portant sur ce lieu-dit, implanté à 1 km à l’est du bourg actuel, se succèdent depuis 2005, au rythme des constructions pavillonnaires. Elles lèvent progressivement le voile sur un site connu depuis le XIXe siècle par les érudits et antiquaires locaux comme une villa gallo-romaine. Une première fouille préventive concerne en 2005 la partie méridionale du gisement (Grimbert, 2006). Avec la mise au jour d’une maison implantée à un carrefour de voies et datée des Ier-IIe siècles, des doutes sont alors émis quant à l’interprétation traditionnelle du site.

L’opération de 2011 s’inscrit dans la lignée de la précédente. Elle intervient après une série de diagnostics qui mettent en lumière, d’une part, le prolongement des maçonneries antiques vers l’ouest et le nord-est et d’autre part, une occupation antérieure attribuée à la fin du deuxième âge du Fer. La fouille concerne la partie orientale d’un ensemble bâti dégagé au XIXe siècle. Une séquence stratigraphique caractérisant une occupation continue de l’espace entre le deuxième âge du Fer (La Tène C2/D1) et l’époque antonine y est attestée, de même qu’une réoccupation des lieux au Haut Moyen Âge.
Les vestiges documentent à la fois les modalités des occupations et l’évolution des techniques de construction : architecture sur poteaux en bois à l’époque gauloise, ossature de bois faisant intervenir en partie des sablières basses à l’époque augusto-tibérienne ; apparition – entre 30/40 et 60/70 – de constructions aux fondations maçonnées qui coexistent avec les bâtiments à ossature de bois ; enfin une généralisation des fondations en pierre à partir de la fin du Ier siècle. C’est de cette dernière période que date l’occupation du bâtiment mis au jour au XIXe siècle. Dans le cadre de l’opération, seules les pièces bordant sa façade orientale ont été observées, dont une probable culina. Les assemblages mobiliers évoquent une implantation sur des axes commerciaux qui bénéficie d’importations plus ou moins lointaines de produits et biens manufacturés variés.

Deux ans plus tard, la parcelle mitoyenne à l’est fait à son tour l’objet d’une investigation exhaustive. Le prolongement des aménagements découverts en 2011 est reconnu, de même que des ateliers artisanaux et un accès aménagé au cours d’eau délimitant les parcelles à l’est.
À la suite de ces opérations de fouille, une phase de recherche est amorcée en 2015, avec pour objectif principal de se prononcer, de façon définitive, sur la question du statut du site. Le choix méthodologique s’arrête sur la prospection géomagnétique, qui est effectuée sur plus de 6 ha dans un champ considéré comme le noyau présumé du gisement. Les résultats sont sans appel : ils livrent le plan d’une petite agglomération secondaire gallo-romaine de moins de 12 ha, la première attestée archéologiquement dans la cité des Pétrucores.

Les campagnes de recherches programmées menées de 2015 à 2019 en complètent peu à peu le plan. Différents espaces sont identifiés : quartiers commerciaux et résidentiels, sanctuaire, temple, tandis que d’autre soulèvent de nouvelles hypothèses (place de marché ?, thermes ?). Depuis 2016, grâce à la participation au programme des élèves latinistes du collège de Montignac, sous la forme d’une action d’éducation artistique et culturelle (EAC), des prospections pédestres précises sont effectuées sur l’emprise de l’agglomération. Ce travail précise la chronologie et la nature des vestiges.
En parallèle, des recherches conduites à une échelle plus large déterminent l’évolution de l’occupation du sol de l’entité territoriale dans laquelle le site s’inscrit, de la fin de la période protohistorique au Moyen Âge. Les méthodes d’approche sont multiples : prospections pédestres, géophysiques, LiDAR, ainsi que des fouilles ponctuelles. La compilation et l’analyse conjointes des données issues de la recherche programmée et des opérations préventives produisent des connaissances importantes pour l’histoire de cet espace situé aux confins du territoire des Pétrucores : délimitation de l’agglomération, axes de communication, architecture des habitats, découverte de la première église paroissiale de Montignac, etc.

Sommaire

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. ​Introduction

1.1. Circonstances de l’intervention
1.2. Contexte archéologique
1.3. Cadre d’investigation et méthode d’investigation
1.4. Contraintes
1.5. Phase d’étude
1.6. Étude géologique sommaire

2. L’occupation archéologique

2.1. La phase 1 : la période protohistorique
2.2. La phase 2 : une phase de transition au début du Ier siècle de notre ère
2.3. La phase 3 : entre 30/40 et 60/70
2.4. La phase 4 : construction et occupation du bâtiment, 70/130 ap. J.-C.
2.5. Une réoccupation du site au haut Moyen Âge ? : La phase 5
2.6. Les perturbations contemporaines

3. Les études du mobilier

3.1. Quelques observations sur les céramiques protohistoriques et antiques du Buy à
Montignac
3.2. Les amphores
3.3. Les petits objets métalliques
3.4. La verrerie
3.5. Les monnaies
3.6. Diagnostic pollinique

4. Conclusion

Bibliographie

Liste des figures

III. Inventaires techniques

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

ELIZAGOYEN, Vanessa (dir.). (2014). Montignac (24), Le Buy - Chronologie et interprétation des occupations humaines du deuxième âge du Fer au haut Moyen Âge (Rapport de fouille, 1 vol.). Bègles : Inrap Grand Sud-Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0134879>.

Autres rapports d'opération

ELIZAGOYEN, Vanessa. (dir.) (2019). Montignac, Le Buy, dossier Hallouin (Aquitaine, Dordogne) (Rapport de fouille archéologique). Bègles : Inrap Grand Sud-Ouest.

ELIZAGOYEN, Vanessa (dir.). (2018). Prospection thématique de la plaine du Chambon (Rapport de prospection thématique). Bègles : Inrap Grand Sud-Ouest.

ELIZAGOYEN, Vanessa (dir.). (2017). Montignac, Auriac-du-Périgord, Les Farges, Aubas, Prospection thématique de la plaine du Chambon (Rapport de prospection thématique). Bègles : Inrap Grand Sud-Ouest.

ELIZAGOYEN, Vanessa (dir). (2016). Montignac, Les Olivoux (Aquitaine, Dordogne), Une nouvelle agglomération antique en Aquitaine (Rapport de prospection archéologique). Bègles : Inrap Grand Sud-Ouest.

ELIZAGOYEN, Vanessa (dir.). (2016). Montignac, Auriac-du-Périgord, Les Farges, Aubas (24), prospection thématique de la plaine du Chambon : étude spécifique (Rapport d'étude spécifique, 1 vol.). Bègles  : Inrap Grand Sud-Ouest.  <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0145839>.

Publications

ELIZAGOYEN, Vanessa, BOËS, Xavier, GAILLARD, Hélène, LABORIE, Yann, HULIN, Guillaume, SIMON, François-Xavier & FONDEVILLE, Carole. (2018). Actualités de la recherche sur l’agglomération secondaire pétrucore de Montignac-sur-Vézère (Dordogne). Aquitania, 34, 191-208.

ELIZAGOYEN, Vanessa, HULIN, Guillaume, FONDEVILLE, Carole, GENEVIÈVE, Vincent, PASQUET, Vincent & VIGIER, Serge. (2016). Une agglomération antique en Périgord : Les Olivoux à Montignac-sur-Vézère (Dordogne). Aquitania, 32, 153-160.

GRIMBERT, Laurent. (2009). Deux exemples problématiques en grand sud-ouest les établissements antiques de Montignac et de Séniergues. Dans Ph. Leveau, C. Raynaud , R. Sablayrolles & F. Trément (dir.), Les formes de l’habitat rural gallo-romain. Terminologies et typologies à l’épreuve des réalités archéologiques : Actes du colloque AGER VIII, Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 mars 2007 (p. 285-294). Bordeaux : Aquitania.

GRIMBERT, Laurent, MARTY, Pierre. (2007). Montignac-Le Buy (Dordogne). Un bâtiment rural du Ier siècle et la question d’un vicusAquitania23, 103-136.

Vidéos

COSTE, Pauline. Une ville sous la terre.

Vidéoguide Nouvelle Aquitaine. L’agglomération gallo-romaine du Chambon (à Montignac).

Citations

ELIZAGOYEN, Vanessa (dir.). (2021). Chronologie et interprétation des occupations humaines du deuxième âge du Fer au haut Moyen Âge (Montignac, Le Buy) : rapport de fouille archéologique 2014. Paris : Inrap. (Documents d'archéologie préventive ; 14). <https://doi.org/10.34692/7gx1-7g51>.

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Chronique de site
Le Buy à Montignac (Dordogne)
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DAP 12 | Trélissac « Borie Porte » (Dordogne)

Borie Porte, sur la commune de Trélissac (Dordogne), est implanté à l’est de Périgueux, en rive droite de l’Isle dont la vallée présente dès le Pal

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Du XIe au XVe siècle : dans l’aire d’influence du repaire noble de Borie Porte (Aquitaine, Dordogne, Trélissac, Borie Porte)

Sous-titre

Rapport de fouille archéologique 2016

Numéro DAP
12
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DAP 12 | Trélissac « Borie Porte » (Dordogne)
Média
DAP 12 | Trélissac « Borie Porte » (Dordogne)
date expertise
mai 2017
date achevement
février 2016
Paragraphes

Borie Porte, sur la commune de Trélissac (24), est implanté à l’est de Périgueux, en rive droite de l’Isle dont la vallée présente dès le Paléolithique un fort potentiel archéologique. Ce qui est aujourd’hui une zone d’activité d’une vingtaine d’hectares a donné lieu en 2009 à un diagnostic archéologique (Fourloubey, 2010). La mise en évidence d’une occupation médiévale originale, centrée autour de l’extraction de grèzes (limons et castines calcaires) a justifié la prescription d’une fouille sur deux secteurs distincts d’une surface totale d’1,6 ha, l’un au bas d’un versant séparant le plateau de la vallée et l’autre sur la terrasse alluviale.

Les premiers témoins structurés, présents dans les deux secteurs, sont attribués à la fin de l’âge du Fer et représentés par une fosse dépotoir ainsi que quelques structures en creux de type trou de poteau.

Mais, pour l’essentiel, les vestiges sont ceux d’une occupation médiévale comprise entre le XI-XIIe siècle et l’aube du XVe sur le terroir de Borie Porte mentionné comme repaire au XIVe siècle.

Aux XIe et XIIe siècles, un souterrain assorti d’une construction et d’une aire d’ensilage a été aménagé dans le secteur de bas de versant. De vastes fosses polylobées montrent l’activité prédominante sur cette zone : l’extraction de grèzes pratiquée au moins aux XIIIe et XIVe siècles. Un petit hameau de quatre bâtiments au minimum se développe à proximité immédiate entre le XI-XIIe et la fin du XIVe siècle. Deux bâtisses (XIII-XIVe) sont en relation probable avec cette activité d’extraction. Une autre construction, partiellement excavée, a été interprétée comme une maison ayant fonctionné du XI-XIIe au XIVe siècle. Le quatrième bâtiment est associé à une excavation complexe de type cellier du XIVe siècle.

Sur le second secteur, des réseaux fossoyés successifs structurent un espace où se pratique l’élevage bovin. Un aménagement se démarque, matérialisé par un bâtiment implanté sur une plate-forme entourée d’un fossé circulaire ; associé probablement à une basse-cour limitée par un fossé aménagé et assorti d’un talus externe, cet ensemble témoigne du statut des propriétaires de Borie Porte avant la fin du XIVe siècle. Après une phase d’abandon, un petit bâtiment sur poteaux indique une reprise d’occupation moins marquée de la zone basse entre le milieu du XVe siècle et le milieu du XVIIe.

Le mode de construction de certains bâtiments à proximité de la carrière de grèzes, caractérisé par l’association d’un bâti sur solins et d’un bâti sur poteaux, reste à ce jour singulier dans le contexte régional. L’approche d’un tel site d’extraction étant unique au plan régional comme au plan national pour cette période, il est encore impossible de savoir si les caractéristiques du bâti sont liées à la spécificité du site.

La fouille illustre bien l’histoire régionale, l’abandon du site à l’aube du XVe siècle résultant vraisemblablement d’un contexte local très agité au XIVe siècle et plus encore pendant la seconde moitié du XIVe siècle. C’est alors, qu’en lien avec la guerre de Cent Ans, le territoire de Trélissac fait l’objet de pillages et de massacres. La propriété de Borie Porte elle-même est disputée à la fin du XIVe et au XVe siècle.

Le mobilier du premier âge du Fer a fait l’objet d’une publication qui vient s’insérer dans l’axe 5 de la programmation nationale sur les âges des Métaux, notamment par l’étude du corpus céramique (Chevillot & Gineste, 2011).

En bordure d’un axe routier de première importance reliant Périgueux à Limoges (puis Paris), le terroir noble de Borie Porte, tourné vers l’élevage et l’exploitation de grèzes, se rattache également à l’axe 10 consacré à l’espace rural, au peuplement et au productions agricoles. Plus encore, le caractère élitaire original de la plate-forme circulaire intègre les thèmes de l’axe 11 portant sur les constructions élitaires, fortifiées ou non, du début du haut Moyen Âge à la période moderne.

Sommaire

Volume 1 : texte

I. Données administratives, techniques et scientifiques

II. Résultats

1. ​Introduction

1.1. Aux origines de la fouille
1.2. Contexte géologique et topographique
1.3. Le contexte historique local
1.4. Cahier des charges et méthode de fouille

2. L’occupation médiévale

2.1. La zone 1 : une occupation du XIe-XIIe au XIVe-XVe
2.2. Les bâtiments

3. Les indices d’une occupation protohistorique sur les deux
secteurs

3.1. Secteur 1
3.2. Secteur 2

4. Le mobilier archéologique

4.1. L’étude du mobilier céramique médiéval
4.2. Présentation du mobilier métallique
4.3. Étude de la verrerie
4.4. Étude des monnaies
4.5. Le mobilier lithique de la fosse 3308
4.6. Étude typo-chronologique du mobilier céramique protohistorique

5. Les restes de faune recueillis sur le site de « Borie Porte » à Trélissac

5.1. Introduction
5.2. Une fosse de l’âge du Fer
5.3. Les niveaux médiévaux
5.4. Les structures en creux, cave, cellier, fosses, silos, cluzeau, ayant servi in fine de
dépotoir
5.5. Les trous de poteaux

6. Conclusion générale

7. Bibliographie

8. Liste des figures


Volume 2 : inventaires

III. Inventaires techniques

Bibliographie / Ressources

Rapport de fouille

GINESTE, Marie-Christine (dir.). (2016). Trélissac (24), Borie Porte - du XIe au XVe siècle : dans l'aire d'influence du repaire noble de Borie Porte (Rapport de fouille, 2 vol.). Bègles : Inrap Grand-Sud-Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0140752>.

Rapport cité dans l'introduction

FOURLOUBEY, Christophe (dir.). (2010). Trelissac (24), Borie Porte (Rapport de diagnostic). Pessac : Inrap Grand-Sud-Ouest. <https://dolia.inrap.fr/flora/ark:/64298/0120336>.

Publication citée dans l'introduction

CHEVILLOT, Christian & GINESTE, Marie-Christine. (2011). Un site du Ier âge du Fer ancien à Borie-Porte (Trélissac, Dordogne). Documents d’archéologie et d’histoire périgourdines, 26, 47-66.

Citations

L’ensemble

GINESTE, Marie-Christine (dir.), BALLARIN, Catherine, CHEVILLOT, Christian, SÉNAC, Robert-André, FOURNIOUX, Bernard, HÉBRARD-SALIVAS, Catherine, MARTIN, Hélène & SELLAMI, Farid. (2020). Du XIe au XVe siècle : dans l’aire d’influence du repaire noble de Borie Porte (Aquitaine, Dordogne, Trélissac, Borie Porte) : rapport de fouille archéologique 2016. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 12). <https://doi.org/10.34692/t4aa-dp19>.

Le volume 1

GINESTE, Marie-Christine (dir.), BALLARIN, Catherine, CHEVILLOT, Christian, SÉNAC, Robert-André, FOURNIOUX, Bernard, HÉBRARD-SALIVAS, Catherine, MARTIN, Hélène & SELLAMI, Farid. (2020). Du XIe au XVe siècle : dans l’aire d’influence du repaire noble de Borie Porte (Aquitaine, Dordogne, Trélissac, Borie Porte) : rapport de fouille archéologique 2016. Vol 1, Texte. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 12). <https://doi.org/10.34692/t4aa-dp19>.

Le volume 2

GINESTE, Marie-Christine (dir.), BALLARIN, Catherine, CHEVILLOT, Christian, SÉNAC, Robert-André, FOURNIOUX, Bernard, HÉBRARD-SALIVAS, Catherine, MARTIN, Hélène & SELLAMI, Farid. (2020). Du XIe au XVe siècle : dans l’aire d’influence du repaire noble de Borie Porte (Aquitaine, Dordogne, Trélissac, Borie Porte) : rapport de fouille archéologique 2016. Vol 2, Inventaires. Paris : Inrap. (Documents d’archéologie préventive ; 12). <https://doi.org/10.34692/t4aa-dp19>.

Auteur(s) / direction
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Borie Porte à Trélissac (Dordogne)
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FR
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Text
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